L'expert comptable au Luxembourg

L'expert comptable au Luxembourg traite les mandats de comptabilité d'entreprises, de sociétés commerciales et de sociétés financières, en accomplissant toutes les formalités administratives et fiscales requises par la loi.

Le métier d'expert comptable au Luxembourg consiste principalement à organiser, apprécier, et, redresser les comptabilités et les comptes de toute nature, à établir les bilans et à analyser, par des procédés de technique comptable, la situation et le fonctionnement des entreprises et organismes sous leurs différents aspects économiques et financiers.

En particulier, l'expert comptable au Luxembourg intervient au moment de l'établissement des comptes annuels (il constatera pour cela également les écritures d'inventaire) et de la préparation des déclarations fiscales (déclarations de TVA, déclarations d'IRC, de retenues d'impôts, etc...).

Lorsque la forme de la société le requiert (SPF et Holding 29), l'expert-comptable pourra établir les « certificats de non-objection » prévus par la Loi luxembourgeoise.

L'expert comptable au Luxembourg intervient également comme professionnel de la domiciliation de sociétés1, et du conseil fiscal, ou comme dépositaire agréé des actions au porteur2.

Sans se substituer à l'avocat, l'expert-comptable peut également se positionner en conseil juridique de ses clients et leur fournir à cette occasion une assistance pour les actes juridiques simples de la vie des entreprises (rédaction d'assemblées générales ordinaires, de procès verbaux de conseils d'administration, etc...).

A l'intérieur de son service de comptabilité, la Fiduciaire Luxembourg-Paris-Genève (LPG) s'est dotée d'un secrétariat social qui prête assistance à ses clients dans plusieurs domaines dont celui du calcul des salaires.

En outre, la Fiduciaire LPG intervient régulièrement pour des travaux tels que des évaluations d'entreprises, par exemple au moment de la transmission ou de la cession d'un fonds de commerce ou d'une société.

Nos correspondants :

 

 

 


1. Loi du 31 mai 1999 régissant la domiciliation des sociétés.

2. Loi du 28 juillet 2014 relative à l'immobilisation des actions et parts au porteur et à la tenue du registre des actions nominatives et du registre des actions au porteur.